En réponse au message :
Communauté de Bethléem : les révélations accablantes d’un ancien supérieur
Domnin,
Vous n’argumentez pas, vous assénez des certitudes. Vous restez au niveau de votre ressenti, et n’évoquez aucun des problèmes qui sont soulevés dans ce site.
Votre seule ligne argumentative, c’est de faire des procès d’intention répugnants.
Vos affirmations démontrent une méconnaissance totale du travail fait par ce collectif, puisque précisément ses membres ont tous oeuvré pendant des années pour se faire entendre par ces fameuses communautés, et malgré des centaines et des centaines de tentatives, elles n’ont jamais reçu que des marques de mépris, quand il ne s’agissait pas d’affreuses calomnies répandues à leur égard.
Savez vous seulement que ces personnes que vous accusez injustement, ont du se battre, parfois pendant des années, contre leur propres peur "de faire du mal à l’Eglise" ? Savez-vous que la plupart d’entre nous sommes torturées par l’angoisse de faire une mauvaise publicité à l’Eglise ? Savez-vous seulement ce qu’est le devoir de conscience ? Avez-vous la moindre idée de ce que signifie la mission prophétique qui est attachée à notre baptême ?
Il y a des communautés qui ont développé des stratégies d’une violence extrême à l’égard des anciens membres. Et cela, nous pouvons en témoigner et le prouver. Alors, vous croyez quoi ? Qu’on est dans le monde des bisounours et qu’il suffit d’écrire à son ancien supérieur pour qu’une communauté accepte tout d’un coup de se corriger, d’être en règle avec ses anciens membres et de reconnaître les vicissitudes de son fondateur ou sa fondatrice ? Dans quel monde vivez vous ?
Nous parlons de communautés déviantes, de suicides, de personnes complètement détruites, qui ont tout perdu dans la vie… et vous les piétinez et leur crachez encore dessus en les accusant de vouloir se venger ? Vous les accusez de ne pas accepter d’être de bonnes victimes, c’est-à-dire de souffrir en silence pour ne pas risquer de « critiquer l’Eglise » ?
Et voilà, on en revient toujours là : salauds de victimes ! Salauds de victimes qui osez vous plaindre ! Salauds de victimes qui piétinez nos rêves !
Mais à ce compte là, Jésus, qui n’a pas cessé de critiquer ouvertement les dirigeants religieux de son temps (et on sait comment ça s’est terminé), aurait-il seulement trouvé grâce à vos yeux ?