En réponse au message :
Les sœurs de Bethléem sous le coup d’une visite canonique
Pour le chocapic, qui pour moi représente des céréales pour les enfants que l’on donne au petit déjeuner, je peux dire que moi-même, je devais aller chaque matin à 10h à la porte de ma prieure pour recevoir deux carrés de chocolat noir qu’elle avait dans sa réserve en cellule. Le but était de me donner du magnésium par le chocolat, après mes nuits blanches, ( environ 3 par semaine). en revanche, pas de médicament proposé pour ma dépression, mais seulement la consolation affective de deux carrés de chocolat pour que je ne vienne plus mendier de sieste l’après-midi. Le bras droit de la prieure générale sœur V, en septembre 2003, rajoutait au chocolat plusieurs tasses de thé vert comme stimulant pour soigner ma dépression qui s’aggravait de plus en plus et elle me répétait : « tu n’auras pas d’anti-dépresseur ». Le thé vert est extraordinaire pour reconnecter ton cerveau embrouillé. Voilà. Aline