En réponse au message :
La Légion du Christ, ou la ré-écriture continuelle de l’histoire
Le mercredi 8 juillet 2015
D’accords Alexandre, je comprends mieux, et je continue d’aller plus loin avec vous : Tant que le mal n’est pas reconnu il continue à agir, maintenant. Il n’y a pas que le fondateur qui était un violeur, dans le sens le plus large possible, jusqu’au viol des consciences je veux dire. Le fondateur imprime son vice dans l’esprit de la communauté qu’il fonde, ce qui continue de faire des victimes aujourd’hui, et à venir, et c’est vrai des autres communautés déviantes. Selon moi, tant que l’Eglise utilise le spirituel pour fuir le psychisme et ses traumatismes, ces derniers continueront d’avoir du pouvoir. Les traumas non reconnus hurlent et se déferlent jusqu’à ce qu’on s’occupe d’eux.