Quand je lis les uns citer la parole de Dieu comme une sentence, les autres se scandaliser : où est l’amour dans tout ça ? Quoi qu’on dise, quoi qu’on pense, quoi qu’on fasse, si c’est sans amour : c’est sans valeur. Mais l’amour dont je parle est absolu, et un avec la vérité absolue : en ce sens, c’est un chemin d’une telle exigence qu’on comprend pourquoi presque tout le monde préfère soit citer les écritures pour les uns, et se scandaliser pour les autres. C’est plus facile que le chemin : de la remise en cause totale de soi-même, d’une psychanalyse en quelque sorte mais puissance un million à la recherche de la vérité absolue, sachant que si l’on n’est pas au clair avec soi-même, il est vain de parler puisqu’on ment quoi qu’on dise.