En réponse à l’article :
Le désir de « faire du chiffre »…
Des personnes qui sortent d’un couvent, d’un séminaire, qui renoncent à leurs vœux, qui choisissent une autre voie, il y en a toujours eu, et ces choix garantissent la liberté d’engagement. Ce qui fait problème dans ces cas chez les Petits Gris, ce sont les séquelles physiques et surtout psychiques, les mêmes que l’on retrouve souvent en sortie de sectes : culpabilisation, dépression, pulsion suicidaire, pertes de repères, état de « paumé » dans le monde…