En réponse au message :
Moi aussi je suis partie… @Elisabeth
Vous dites que sr Isabelle vous a proposé d’aller en Israël, et que vous ne l’avez pas fait car vous étiez trop lasse. Une telle proposition, c’est ce qu’on appelle un caramel à Bethléem. Vous étiez « trop lasse de tout », dites-vous. Tiens donc, pourquoi ? Et si vous étiez lue ou entendue, lorsque vous signaliez des dérives en paroles, notamment des propos antisémites, comment se fait-il que pourtant vous étiez trop lasse ? Quels étaient vos besoins auxquels il n’était pas répondu ?
Vous dites avoir été suivie par un neuropsy pendant deux ans. Était-il indépendant de la communauté de Bethléem ?
Vous parlez du départ de l’ancien prieur général que vous avez appris récemment et qui vous a « stupéfaite ». Savez-vous ce qui s’est passé avant l’histoire d’élection ou de non réélection que vous évoquez ? La version que vous donnez est celle de Bethléem.
Rien n’est jamais tout blanc ou tout noir, c’est évident. Mais vous n’êtes pas assez précise sur ce qui vous a choquée. Pour que la communauté se réforme, ce qui lui a déjà été demandé, vous pouvez aider en disant ce qui, à vos yeux, ne collait pas. Ce ne sont pas les personnes à l’intérieur qui peuvent le faire.
Visiblement, ne faut-il pas partir de Bethléem pour pouvoir être davantage entendu, au moins par l’Eglise ? Et si vous aviez été véritablement entendue en interne, seriez-vous restée à Bethléem ?
C’est tout de même assez violent quand André parle, dans un post, de personnes qui ont « renié », alors que ce sont en général des personnes qui ont, comme vous, cherché d’abord à faire bouger les choses, avant d’être « trop lasses ». Comment avez-vous reçu ce jugement ?
Vous souscrivez aux propos de Fabio « dans les grandes lignes », dites-vous. Par delà les bémols que vous apportez, c’est ce qui mériterait d’être retenu et développé pour aider Bethléem à se réformer, en pensant non pas à vous qui vous en êtes sortie, mais aux autres.