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Communauté de Bethléem : les révélations accablantes d’un ancien supérieur

Le mercredi 26 novembre 2014

Bonjour Frère Silouane,

Je suis une ancienne soeur. Je n’ai pas eu la joie de vous connaître pendant mes années à Bethléem. Cependant j’ai du mal à vous entrendre nous accuser de mensonge. Ce serait peut être constructif si vous pouviez préciser les points qui vous semblent faux plutôt que de généraliser ?

Comme chrétienne et avec tout le respect que je vous dois, j’aimerais vous demander :

 Soeur Myriah se serait suicidée en Juin 98.(je l’ai appris par le témoignage de Fabio) Je suis entrée en Octobre 1999 et ma famille était alors inquiète par rapport à la radicalité de la solitude et avait demandé à ma prieur si personne ne s’était suicidé. Cette dernière a répondu non. Cela s’appelle comment ?

  • Après ma sortie, je suis passée à Bet Gemal au cours d’un pélerinage. L’assistante de soeur Isabelle, pour ne pas la nommer, m’a confondue avec soeur X pour m’affirmer ensuite que “non non soeur X n’est pas sortie”. Alors qu’elle l’était. Cela s’appelle comment ? Fallait-il éviter que des anciennes ne se retrouvent ?

 Devoir sortir de la communauté pendant que les soeurs sont à la liturgie, sans leur dire au revoir. Cela s’appelle comment ?

 Nous demander de dire à nos familles qu’elles ne peuvent pas lire les homélies de soeur Isabelle (on les reçoit pourtant imprimées en clôture et mes parents voulaient les lire) parce que cela ne sort pas de clôture et que l’on nous dit ensuite qu’en fait nos familles ne peuvent pas lire les homélies car « Elles ne pourraient pas comprendre ». Cela s’appelle comment ? Il y a d’ailleurs beaucoup de choses que l’on nous demande de taire car l’extérieur ne peut pas comprendre. Cela s’appelle comment ?

J’ai vécu de belles choses pendant ces 6 années à Bethléem et j’ai donné à l’Eglise mes belles années de jeunesse (28/34 ans). Plutôt que se faire accuser de dire des mensonges, j’aurais personnellement préféré qu’on me demande pardon pour certaines choses. Je ne dois pas être la seule. Oser se remettre en cause est important et signe de bonne santé psychologique. Je l’ai fait moi même à ma sortie, aidée par des prêtres. Et vous ?

Très respectueusement,

Sophie

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