En réponse au message :
Réponse de Maurizio
« Donc mon tacle sur la thèse de Xavier c’est effectivement limite mais j’ai horreur des personnes qui s’autocitent (c’est comme les autolikes sur Facebook si vous voyez ce que je veux dire). »
Ah, Maurizio, si vous n’existiez pas, il faudrait vous inventer !
Lorsque je partage un travail universitaire pour étayer mes propos sur la valeur épistémologique des études sur le sectarisme… vous considérez que je « m’auto-cite ».
Là, je dois avouer que votre cas m’inquiète de plus en plus…
Peut-être un cas de projection ? Je ne vois que ça.
La projection : transposition sur autrui d’un mouvement psychique
Une personne en proie à des pulsions, des pensées, des désirs qu’elle ne peut reconnaître pour siens utilise un mécanisme de défense essentiellement imaginaire : elle les déplace sur autrui. C’est ce que la psychanalyse nomme projection. Il s’agit de l’une de nos réactions archaïques, présentes dès les premiers stades du développement, que le moi ensuite intègre et met en œuvre pour se protéger. A priori normale, sinon nécessaire, la projection devient trouble psychique lorsqu’elle revient en boomerang sur son auteur sous forme de délire paranoïaque, phobies handicapantes ou jalousie extrême.