En réponse au message :
Les dérives du Père Marie-Dominique Philippe, fondateur de la communauté St Jean
« Pas de bol car pas de preuves, hein ? Sauf qu’en matière d’abus sexuels, les preuves ne court pas les rues à moins que la victime se rende immédiatement à la police afin d’obtenir un examen initial parfait avec le recueil d’éléments contribuant à l’obtention de preuves médico-légale pour la justice. » Et oui, c’est bien cela le problème en matière de viol et d’abus sexuel. C’est là aussi qu’est la difficulté des enquêteurs et de la justice. C’est pour cela que des 2 cotés , il y a eu des erreurs judiciaires graves. Ces enquêtes sont extrêmement délicates. Faut il chaque fois qu’il y a témoignage ou accusation de viol, décréter que l’accusé est coupable ? Faut il discréditer tout témoignage en l’absence de preuves ? On a fait cela un temps par rapport aux enfants, en décrétant que les enfants ne pouvaient pas mentir sur ce sujet( alors qu’il ne s’agit pas forcément de mensonges mais d’expression d’une souffrance).