En réponse au message :
Les sœurs de Bethléem sous le coup des chocapic
Vous savez, un trouble psychologique peut très bien être contrôlé par médication, c’est comme si on admettait quelqu’un de diabétique qui serait bien contrôlé par sa médication.
La difficulté serait plutôt de s’inquiéter sérieusement au sujet de la personne qui prend une médication : à Bethleem « toute la vie de la moniale doit se laisser transformer et guider par quelqu’un d’autre … » C’est assuré qu’après un certain temps les responsables vont décider de modifier le traitement pour cette personne. Elles vont essayer de chercher mieux ou tout simplement autre chose. C’est le fonctionnement de Bethleem qui est comme ça. Est-ce de l’orgueil, une manière pour avoir main mise sur la personne, toutes les moniales passent par ces étapes malades ou non malades. C’est assuré que la moniale sera traitée d’une manière qu’elle ne connaît pas, c’est le but de pouvoir remettre tout son être dans les mains de son starezt qui doit en venir à tout choisir pour elle.
Je suis sûre que les anciennes reconnaîtrons cette manière d’agir, toute la règle de vie (le livre) a pour but cela. On y a toutes été confronté.