En réponse au message :
Extraits Amour-Amitié décryptés
Françoise,
Miséricorde ! C’est tellement juste…
Vous êtes vraie et courageuse Françoise. N’avez-vous pas le sentiment en vous exprimant avec votre vérité, de vous retrouver ici dans une sorte d’abus rituel ?
Car le « pattern » va reprendre : à chaque fois que vous partagez du lieu de votre vérité, aussitôt se présente « un couple d’étouffoirs » qui se relance la balle au dessus des prises de parole, pour mieux éteindre, du lieu d’un prétendu savoir d’où jaillissent le mépris, le discrédit, la fermeture à l’autre, la suffisance…
Pourquoi continuer, au lieu de « secouer la poussière de vos sandales » ?
Car à ce moment-ci, peu importe ce qui s’exprime, la parole est muselée et parfois d’une manière qui n’exclut pas la violence, puisque, comme dans une famille ou un groupe dysfonctionnels, l’interdit structurant est perverti et se présente sous forme de « Pouvoir/sur » au lieu d’un « Pouvoir/avec ».
Comment faites-vous pour continuer ici alors que vous êtes devenue si vivante et habitée ?
Étant attentive tant aux processus qu’aux contenus, je suis étonnée de voir que ce qui se rejoue ici témoigne d’un climat rappelant la perversion ; or en pareil cas, il ne reste qu’une chose à faire : « se tirer de là » !
Je tenais à vous dire que votre présence m’a appris que là où l’on souffre et on assume avec d’autres, Dieu se donne. Et que sa Vérité rend meilleur et libre ! Marie