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En réponse au message :
Yves Hamant : « Je ne crois pas que les choses aient beaucoup changé »
Arrêtons avec les soit disant violences, les artifices rhétoriques au service de « l’injure » (sic !) via des échanges qui dérangent les bien-pensants ou les parties prenantes des dérives abordées sur ce site - avec modération qui plus est -. Elles sont un ersatz des violences ou abus autrement plus graves, subis par les réelles victimes des communautés déviantes.
Merci d’éviter de leur infliger une ’double peine’. C’est là un voeu pieux, j’en ai bien conscience, mais c’est à souligner.
Quant aux « procédures » évoquées afin de permettre de limiter les dégâts, il faut revenir à un peu de réalisme et de pragmatisme. Les évêques sont, pour la plupart, parfaitement informées des déviances des communautés sur leurs diocèses à l’heure actuelle. Trop de scandales les ont réveillés. Ils s’en réfèrent « aux nouvelles instances chargées de lutter contre les déviances sectaires » avec obéissance mais aussi avec soulagement.
Seuls les statuts des dites communautés déviantes - reconnues par l’Eglise Catholique -, permettent un devoir d’ingérence mais malheureusement souvent insuffisant, tant sur le plan des finances que des moeurs. Il suffit de constater l’efficacité de l’action des Commissaires Pontificaux dépêchées par Rome. Autant poser une rustine sur le Titanic dans bien des cas. 😉
Quant à la formation des évêques dans le domaine des déviances sectaires, il faudrait intégrer qu’ils sont pour la plupart issus de séminaires qui nient ouvertement ces déviances et pour cause…
Bref, c’est ici le serpent qui se mord la queue, inutile d’épiloguer. C’est un fait.