En réponse au message :
Fraternités monastiques de Jérusalem : “Nous devons faire la vérité sur la part sombre de notre histoire”
On a le droit de douter et le doute dans le droit français doit toujours profiter à l’accusé. Dans de telles affaires, la capacité de douter est un gage de discernement. Votre discours confirme ce que je dis à savoir qu’il s’agit d’une nouvelle religion ,, celle des victimes dont la parole est intouchable donc sacrée. Celui qui en doute est un apostat. L’accusé est coupable parce qu’on ne peut pas imaginer que l’accusateur ne dise pas la vérité est la preuve de la véracité de ses propos est sa souffrance. Dans ce cas l’enquête se bornera au recueil du ou des témoignages : c’est ce que l’on fait très souvent aujourd’hui , témoignages qui, si l’accusé est décédé, risquent encore moins d’être contredits. Je suis désolée mais tout le monde est capable de mentir , tout le monde est capable de ne pas dire la vérité( ce qui ne revient pas forcément à un mensonge). Ce n’est pas parce que nous ne sommes pas en capacité d’imaginer les raisons qui pourraient pousser quelqu’un à faire à tort ce type d’accusation, que ces accusations sont vraies d’emblée. Moi, je ne crois qu’au Dieu de Jésus Christ et pour le reste nul ne me retirera ma capacité de douter.