En réponse au message :
Fraternités monastiques de Jérusalem : “Nous devons faire la vérité sur la part sombre de notre histoire”
Le jeudi 16 janvier 2020
Merci pour cette réponse très pertinente. Tout est dit.
Des études américaines ont montré qu’il est extrêmement rare qu’une victime d’abus mente quand elle dénonce son agresseur. En fait, une victime n’a jamais rien à gagner à parler.