TRAVAILLEUSES MISSIONNAIRES DE « L’EAU VIVE »

Comment, au XXIe siècle, au sein même de l’Eglise Catholique, des pratiques confinant à l’esclavagisme peuvent-elles encore exister ? Le dossier réalisé par l’AVREF sur les Travailleuses Missionnaires de l’Immaculée Conception soulève un certain nombre de questions… Usque ad nauseam.
Dossier réalisé par l’AVREF.

Excellent article paru dans le journal La Provence sur l’affaire honteuse et choquante des Travailleuses Missionnaires : des jeunes filles recrutées dans des pays émergents pour servir de main d’œuvre bon marché dans les restaurants de l’organisation, en France et ailleurs. Sans véritable statut religieux, ces femmes se font ainsi exploiter pendant 10, 20, 30 ans, sans salaire, ni cotisation sociale, ni soin…

« Mon Dieu, comment l’Église a-t-elle pu tolérer de telles choses en son sein ? » Voici la seule question que l’on peut se poser quand on lit le témoignage accablant d’un collectif de Travailleuses Missionnaires de l’Eau Vive, exploitées comme des esclaves jusqu’à épuisement ! (Cf. le Livre noir récemment publié par l’AVREF sur son site internet).

Le journal La Croix publie aujourd’hui un article abasourdissant sur les Travailleuses Missionnaires de « L’eau vive ». Osons le dire : ces filles, privées de toutes formes de discernement, séparées du monde, exploitées jusqu’à l’épuisement… sont victimes d’esclavagisme. Honte à ceux qui ont laissé faire cela !

Revenir en haut