FRATERNITES DE JERUSALEM / Père Pierre-Marie Delfieux

La leçon à tirer, c’est qu’une communauté religieuse ne peut se réformer sans un regard indépendant, sans une aide extérieure, de même que l’Eglise tout entière à la faveur des travaux de la Commission Sauvé.

Entretien avec Anne Mardon, entrée à l’âge de 25 ans dans les Fraternités monastiques de Jérusalem. Un témoignage bouleversant, la sortie d’une duperie, la description méthodique de la mécanique d’un triple silence : de l’institution ecclésiale, de la communauté religieuse, de la victime sous emprise.

A lire cette semaine dans le journal La Vie (liens ci-dessous) la grande enquête de Sophie Lebrun sur les Fraternités de Jérusalem et leur fondateur, le père Pierre-Marie Delfieux.

Revenir en haut