Pour David Clohessy, le porte parole d’un réseau de victimes de prêtres, il s’agit d’une nouvelle stratégie de l’Église pour éviter de se confronter au problème des abus sexuels :
« Alors que dans les pays développés, la hiérarchie a du mal à continuer de faire travailler les prêtres prédateurs sexuels, les évêques les déplacent de plus en plus vers les pays en voie de développement, où les lois sont moins appliquées, où il y a moins de médias indépendants, et où les prêtres ont plus de pouvoir sur les paroissiens. »