L’omerta perdure au Vatican selon des victimes de prêtres

Samedi 12 mars 2016

Beaucoup de paroles mais peu d’actes : trois ans après l’élection du pape François, les victimes de prêtres pédophiles se disent amères et déçues, estimant que l’Église a encore beaucoup à faire pour écarter et punir les coupables.

Ces dernières semaines, l’audition par une commission australienne du cardinal George Pell, no 3 du Vatican, et la plainte pour non-dénonciation d’un prêtre pédophile contre le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, ont relancé le débat sur les décennies d’indifférence de la hiérarchie et ses efforts pour étouffer les scandales.

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Vos réactions

  • Françoise 13 mars 2016 13:28

    Même dans le cas où la loi des pays l’impose, les épiscopats tentent de s’émanciper de la nécessité de dénoncer des criminels. Il y a une dizaine d’ années, l’affaire Anatrella et l’affaire di Falco furent enterrées et leurs auteurs jamais vraiment inquiétés. Ils sont toujours en poste actuellement et même pour Anatrella, précisément sur l’affaire pédophilie.

    Autre cas décrit par Diane sur Golias, qui là aussi montre une façon d’agir du Vatican pour le moins étrange, malgré les soit-disant directives pour dénoncer la pédophilie cléricale :

    http://golias-news.fr/article6384.html#forum50864

    Alors on peut se demander si l’action de F1 ne dispose pas de limites dans la mesure où les situations devant être traitées, le sont sans l’être, laissant en poste des prélats y compris ayant fait de la prison pour pédophilie.

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