En réponse au message :
Le père Bernard Peyrous démis de ses fonctions
Le dimanche 5 novembre 2017
Françoise,
le problème, à mon humble avis, c’est que vous allez trop vite aux conclusions.
Cela me fait penser au principe du « mille-feuilles argumentatif » dont parle beaucoup le sociologue Gerald Bronner : Tous vos arguments contre la dimension surnaturelle de la vie de Marthe Robin ne permettent pas d’induire une conclusion aussi radicale. Et ce n’est pas un problème de déni (Le déni, d’ailleurs, peut se manifester dans les deux sens).
J’ajoute qu’à mon avis vous avez trop tendance à tout analyser sous un prisme idéologique, et partant un peu manichéen… Comme si toute l’histoire récente de l’Eglise n’était qu’un combat entre les bons (conciliaires) et les méchants (anti-conciliaires et réac). Je crois que c’est plus complexe que cela.