Il y a quelque chose que l’on semble ignorer : la montée du Modernisme au sein même de la hiérarchie de l’Église catholique. Le Modernisme est "l’égout collecteur de toutes les hérésies". Le pape Pie X, dans sa "Lettre Encyclique "Pacendi Domini Gregis" du 8 septembre 1907, l’avait démasqué, expliqué et officiellement condamné. Mais cela ne l’a forcément fait disparaître, mais que momentanément ralenti. Le nombre de ses agents dissimulés et subversivement agissants, s’est au cours des ans multiplié. "Vatican II" en sera l’aboutissement, et le Cheval de Troie pour prendre d’assaut "officiellement", avec son apparence de légitimité et de catholicité, l’édifice. Cette imposture, malgré toute l’invraisemblance de ce fait, dure depuis.

Selon une parole du pape Pie XII, en 1950, "..que si l’Eglise de Dieu peut être assaillie, elle ne peut être vaincue ; car « les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle » (Homélie prononcée lors de la canonisation de saint Vincent Strambi -11 juin 1950) Je rajoute, que si elle peut être réduite, jamais elle ne sera détruite, car son origine est divine et non humaine.

Je vous dis ces choses pour tâcher de faire comprendre que ce n’est pas la véritable Église catholique apostolique et romaine que vous voyez au Vatican, mais un substitut maçonnique. D’où ces aberrations croissantes.

Je ne placerai qu’un lien. Page 43 en bas et suivante, où M^gr de Ségur nous révèle ce qui se tramait, et qui par une permission de Dieu, (comme pour le saint homme Job, qui est une figure de l’Église, dans l’Ancien Testament, où par la permission de Dieu, on voit Satan le réduire dans une extrême misère), et qui s’est réalisé depuis les années 60 : http://archive.org/stream/larvolution00sggoog#page/n52/mode/2up

Bien à vous. Roger Boivin