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Le combat sans fin de Claire Maximova, ex-carmélite qui veut être reconnue victime de viol par l’Église

Le dimanche 29 novembre 2020

Xavier, je reconnais tout à fait que mes propos ne sont pas faciles à recevoir. J’ai réfléchi pendant plus d’un an avant de prendre la parole et après avoir entendu l’avis des autres victimes, fort perplexes au sujet de ce livre. Il se trouve que je connais bien le pays et le contexte d’où vient CM (peut-être même mieux en étant plus âgée), qui diffère sur tout les point de l’Occident en général et de la France en particulier). Je connais aussi un bon nombre des abus de toutes sortes. Et si vous saviez ce que j’ai vécu moi-même….. Mais ce n’est pas le sujet. C’est juste pour dire que je n’ai suis pas moins consciente que vous de l"état où se trouve l’Église et l’institution, et je le dis haut et clair là où je peux : aujourd’hui on est arrivé au point où on ne peut plus compter sur les évêques, surtout en ceux qui concerne la vie consacrée. Je suis aussi sans illusion sur les communautés et les mouvements qui se nourissent dr l’enthousiasme émotionnel des jeunes et même si on peut y vivre des chpses qui sont bonnes (et même nécessaires) en elles-mêmes, ces milieux ne préparent pas de façon efficace à faire face aux défis de la vie (y compris de la vie intérieure). Je trouve aussi que les carmes polonais de la paroisse de CM étaient d’une imprudence sidérante, à peine croyable (à mon avis ce sont eux les premiers fautifs qui endossent une large part de responsabilité), en envoyant une jeune convertie à l’autre bout du monde et c’est alors qu’ils savaient que les tous les Varmels féminins ne se valent pas et que le Général de l’Ordre chantait sur tous les tons : « N’envoyez pas les jeunes en première formation ni les religieux (ses) isolés dans le contexte trpp différent de celui où ils ont vécu. Ça se termine très rarement bien, les nombreux exemples à l’appuie ». Si j’interviens aujourd’hui, ce n’est pas pour juger ou pour désigner au doigt qui est noir comme un demon et qui est blanc comme une colombe. Ce serait trop simpliste. J’ai voulu juste apporter un point de vue plus nuancé et sous un aspect différent, car je trouve que pour chercher ce qui est juste il est important à savoir faire les tri du fait de la complexité de la personne humaine. C’est pourquoi sans vouloir allumer une polémique je trouve utile de préciser mes propos. Dans mon message j’ai dis clair que le comportement dr ce prêtre est inadmissible et qu’il n’est pas à sa place (sous entendu - dans le sacerdoce).Je n’ai pas dis que CM a eu tort des porter plainte. C’est un autre aspect du sujet. J"ai voulu juste attirer attention que ce qui est arrivé à cette personne n’est pas le friit du hasard dans sa vie. Le trouble de dépendance affective n’rsy pas une faute morale, pour cela il ne s’ agit pas d’un procès d’intention (elle n’a pas cherché ou voulu ce qu’elle a subi) Nous sommes tous porteurs d’une problématique, telle ou autre, plus ou moins grave, plus ou moins consciente. Mais si nous ne sommes pas coupables de ce que nous avons du endosser ou subir par la faute de quelqu’un d’autre, nous sommes responsables qu’est ce qu’on en fait. Et ça ne concerne pas seulement les démarches juridiques, mais aussi un travail sur soi qui est irremplaçable. Pour être précise : un jeune prêtre de la paroisse, entrée fofolle et engagement (!) dans un enclos…hm ! étonnant, un dresseur des chiens, prêtres de N.D. de Vie ect.ect. Il y avait suffisamment des points peu banales qui sont comme les pousses d’une même plante, pour qu’un voyant rouge s’ allume, d’autant plus que les autres le lui disaient plus ou moins adroitement et conseillaient ce qui est juste : à quitter les milieu malsain et rompre les relations ambiguës. Mais paraissait toujours savoir mieux que personne…. A préciser que le porteur d’un trouble affectif sévère, s’ il n’attrape pas à temps le taureau par les cornes, finit le plus souvent victime d’un pervers (qu’il s’ agit d’un prêtre ou pas, balayeur ou PDG ). La vérité sur nous mêmes et parfois dure à decouvrir et à assumer, mais les seules démarches en justice (qui n’aboutissent d’ailleurs que très rarement) ne suffisent pas pour aborder et resoudre le problème, je dis - le problème en son entier). Peut-être nous trouverons-nous brutalement secoués par la découverte qui nous est ainsi imposée. Mais n’est-ce pas l’unique voie pour nous remettre sur le bon chemin ? !

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