En réponse au message :
Le combat sans fin de Claire Maximova, ex-carmélite qui veut être reconnue victime de viol par l’Église
@Anne
Je crois que c’est un malentendu, le message de Christophe allait totalement dans votre sens. C’est ainsi que je comprends sa tournure télégraphique « Anne +1000 » = vous avez 1000 fois raison de le dire.
Pour ne pas simplement ajouter du « bruit » à la discussion, je signale que le magazine Marie-Claire a accordé il y a quelques jours un entretien à la journaliste Constance Vilanova qui a publié en octobre dernier un ouvrage chez Artège intitulé Religieuses abusées, le grand silencequi est , je cite l’article, « un livre-enquête rigoureux et documenté, dans lequel elle donne la parole à de nombreuses victimes avec beaucoup d’empathie, venant de différents pays. Elle rencontre également des lanceuses d’alertes que personne n’a écouté il y a vingt ans, et confronte des dignitaires du Vatican à leurs responsabilités. »
Une réponse de l’auteur dans l’interview va, hélas, dans le sens de Xavier quand il écrit, de manière incisive, que "ces Carmes, au final, fonctionnent comme une vraie mafia."
« Je pensais enfin qu’il y aurait plus de victimes dans les communautés nouvelles du Renouveau charismatique, et en fait, pas du tout. J’ai eu des échos similaires de communautés historiques. »
On découvre au fur et à mesure que le mal n’est pas circonscrit à quelques communautés plus ou moins nouvelles, plus ou moins déviantes et sectaires, comme on pouvait se le représenter jusque là, mais qu’on le trouve disséminé un peu partout dans l’Eglise, ce qui ne laisse pas d’interroger.