En réponse au message :
Le combat sans fin de Claire Maximova, ex-carmélite qui veut être reconnue victime de viol par l’Église
Le vendredi 4 décembre 2020
Avant même la réponse de Xavier Léger, j’ose avancer, bien que je ne dispose pour cela que de la lecture du livre et des interviews, ne connaissant ni C.Maximova, ni les protagonistes en question, donc voyant les choses d’une manière extérieure :
– que C. Maximova, étant en dépression, comme elle l’a dit récemment dans une interview à la télévision, se fait bien évidemment soigner.
- qu’elle reconnaît qu’elle a toujours voulu un frère, et dans le livre, et dans l’interview
- que le carme, étant prêtre et religieux plus âgé, était dans une position d’autorité
spirituelle, même s’il n’avait pas « officiellement « autorité » sur elle. Celui qui a un statut supérieur a necessairement plus de responsabilités et doit donc être plus au clair avec lui-même.
– que, comme C.Maximova aurait dû mieux comprendre les écrits de Ste Thérèse de Lisieux, celui-ci aurait dû aussi mieux comprendre ce qu’est un véritable père ou accompagnant spirituel.
– qu’il y a bien d’autres exemples de femmes adultes qui ne sont pas des imbeciles ( mais qui souffrent d’un manque de pere, de frère ) qui se sont laissés abuser, et ce, pendant très longtemps.
– que je ne vois guère ce que vient faire ici l’allusion à la façon dont C. Maximova a appris le Français et, encore moins la comparaison avec Louise de la Miséricorde, hors sujet ( autre contexte, autre époque ).